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Blog d'une Serial Reader
7 août 2011

Laurell K. Hamilton, Anita Blake, tome 4: Lunatic Café

Lunatic-cafe« Chacun a en lui son petit monstre à nourrir. » (Madeleine Ferron)
Quatrième de couverture :
On dirait que je le fais exprès. Je suis tombée amoureuse du chef de meute local. Non, pas un louveteau. Un loup-garou, bien sûr! Pourtant, il y a des tas de filles dans ma tranche d’âge qui n’arrivent pas à se dégotter un petit ami. Et c’était mon cas avant Richard. Certes, Jean-Claude, mon vampire préféré, ne demandait pas mieux, mais son côté possessif a tendance à me démotiver. Même si c’était un homme ordinaire, j’aurais déjà du mal à imaginer une vie de couple avec lui. Côté sexe, ça oui: no problemo, je vois très bien, mais sortir… Aller au restaurant, au spectacle, fréquenter ses amis. Franchement non! On a beau être dans une histoire d’horreur, il y a des limites!

*****

Ma première impression après avoir terminer la lecture de ce quatrième tome ? Faut que je fasse une pause ! Parce que oui, je dois bien vous l’avouer, elle commence à m’enquiquiner, Anita Blake.

Le problème, c’est que – même si j’aime ça au départ – l’histoire tourne plus autour d’elle et de ses problèmes de cœur et de couple qu’autour de l’enquête, et ça devient lassant. Surtout que si encore la demoiselle savait ce qu’elle voulait ! Veut-elle se marier dans l’absolu ou pas ? Accepte-t-elle de sortir avec quelqu’un qui n’est pas humain ou pas ? Si oui, jusqu’à quel point ? Mais elle ne le sait pas elle même, et ses doutes et ses questionnements commencent à bien faire. Décide-toi, ma vieille ! Ah, elle est loin l’époque où elle déclarait, pleine d’assurance, tuer les vampires et non sortir avec eux…

Alors oui, comme dans une relation, j’ai décidé de faire une pause avant qu’elle ne me fasse péter un boulon ! D’autant que même l’enquête ne m’a pas passionné outre mesure, ou plutôt devrais-je dire que les loups-garou m’ont plus dégoûté qu’autre chose – mais une émotion, même négative, vaut mieux que pas d’émotion du tout, et puis je ne suis pas sûre que le but de Laurell K. Hamilton était qu’on soit charmé par eux, que du contraire, mission accomplie, donc !

Laurell K. Hamilton, Anita Blake, tome 4 : Lunatic Café (1996)
Milady, 416 pages. Traduit de l'anglais par Isabelle Troin. 
Titre en V.O. : The Lunatic Café.

En écoute : Shoot the runner _ Kasabian

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