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Blog d'une Serial Reader
30 septembre 2011

Harlan Coben, Sans laisser d'adresse

9782266210829FS « Ce n'est plus souvent que la perte des choses qui en enseigne la valeur. » (Arthur Schopenhauer)

Quatrième de couverture :

Retrouver, après sept ans de séparation, une femme sublime à Paris. Un programme a priori réjouissant. Sauf quand l'amant s'appelle Myron Bolitar, agent sportif : sur place, les ennuis ne tardent pas à arriver. Son amie Terese est mêlée à un meurtre. Sur la scène du crime, du sang, beaucoup de sang : celui de la victime mais aussi celui de la propre fille de Terese... morte dans un accident des années auparavant.

« Un volume du meilleur cru. » Femina

*****

Harlan Coben est l’un de mes auteurs favoris et je suis stupéfaite de ne pas encore vous en avoir parlé. Certes, je pourrais attendre d’avoir lu Sans un adieu, son dernier livre paru chez Pocket il y a peu, mais voilà, je n’en ai pas envie ! ^^ La raison c’est que, même si on part du principe que j’adore tous ses livres, je trouve celui-ci particulièrement bien ficelé et réussi, avec une intrigue et une révélation finale qui m’ont littéralement scotchée. Et puis, aussi, parce que ce livre fait partie de la série Myron Bolitar contrairement au prochain ;-)

Car si j’apprécie tous les livres du sieur Coben, ce sont ceux sur Myron Bolitar que je préfère. Et pourtant, j’avais une grande appréhension a début ! Pourquoi ? Parce que le sport et moi ça fait deux et que Myron Bolitar est agent sportif, et même si ses livres sont rangés au rayon thriller, bah je ne savais tout de même pas trop à quoi m’attendre. Toutefois, il ne m’a pas fallu longtemps pour comprendre que je n’avais rien à craindre de ce côté là et pour littéralement tomber amoureuse de cette série. J’ai dis un jour que lire un Myron Bolitar c’est comme manger de la « pâte à tartiner au chocolat et aux noisettes » (hum, je ne cite pas de marque, on ne sait jamais xD) à la petite cuillère, et je le pense toujours sincèrement. C’est que non seulement les intrigues sont bonnes, mais c’est surtout remarquablement bien écrit, rempli d’humour et de personnages savoureux. Si vous aimez les bons dialogues vifs, plein de répartie et de répliques bien senties, ces livres sont faits pour vous – personnellement je me prends toujours quelques fou-rires par tome. Impossible également de ne pas tomber sous le charme de Myron, Win, Esperanza ou même Big Cindy – dont les descriptions sont toujours assez… pittoresques ! Bref, c’est toujours un moment de plaisir et de détente absolu et ça fait du bien !

Pour ce qui est de ce tome-ci – le dernier en date et il est important que je vous dise qu’il faut impérativement les lire dans l’ordre car la toile de fonds prend suffisamment de place pour qu’on soit perdu si on commence en cours de route – comme je vous l’ai dit l’intrigue, et surtout son dénouement, est particulièrement bonne. Attention, elle l’est toujours, mais disons que Coben est allé un cran au-dessus cette fois, au point que j’en suis restée comme deux ronds de flan. En contrepartie, il s’agit d’un tome qui peut peut-être s’avérer un peu plus sérieux que les autres.

Voilà, mon « oubli » est donc réparé et je peux vous donner rendez-vous pour la critique de Sans un adieu – ce qui est finalement la seule critique que je ferai : traducteurs français, par pitié, un peu d’inspiration pour les titres que diable ! Parce qu’avec Sans un adieu, Sans laisser d’adresse et Sans un mot, ça serait bien un chouïa répétitif !

Harlan Coben, Sans laisser d'adresse (2009)
Pocket, 404 pages. Traduit de l'anglais par Roxane Azimi. 
Titre en V.O. : Long lost.

En écoute : The Islander _ Nightwish

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